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Le jour se lève, ça vous apprendra.
La pub pour la mae j'y ai passé mes rattrapages, et béni sois le prof à la coupe Einstein aux baskets neuves.
Je voudrais prendre une douche et oublier, laver ces odeurs, ces sentiments vomis, me laver gratter jusqu'au sang, je voudrais m'évaporer, est-ce qu'on y arrive où c'est rien qu'une idée, ou encore une histoire de grand-mère ?
En fines gouttelettes, à l'air chaud, s'envoler loin dans les nuages et y retrouver d'autres fines gouttelettes.. Ne faire plus qu'un avec tous.

Ca tire dedans.

Je me sens traître.
Qu'on ne s'étonne pas si on me voit plusieurs.
Qu'on s'étonne qu'on me revoit dans les belles spirales. Qu'on s'étonne pas, ça suit son cours.

C'est chaud, liquide, visqueux, avec des petits bouts.
Comme des poissons.

Je voudrais le trouver, aussi, cet Harry, avant qu'il me tue, mais si je le trouve, j'y ferai quoi ?
Je suis pas cap de tuer un moustique de mes mains, mais cap de torturer les chats, mais ça se trouve je suis construite de trucs qu'on a jeté ici ou là, qu'on a éparpillés et qu'y a pas d'ordre..
Je suis dans plein de baignoires comme dans ce rêve, du bain de sang, des bras ballants, pendants, ou baignant dedans. Toutes séparées par des murs, ou éloignées, avec les outils nécessaires à leurs pieds. Ceux qu'on trouve en boucherie, ou en  usine à métal.


C'est comme ça goutte imperméable sur les parapluies, ça goutte, ça rentre jamais dedans, ça s'écoule autour et ça s'éclate sur le sol.

Ca sanglotte dedans, comme le coeur qu'on sent battre partout, fort comme la main elle était tordue.

C'est pas grave, ça passera.


Je crois qu'y a des portes que j'atteindrais jamais, et ça fait mal de savoir ça..


Je vais me cacher sous ma couette et attendre que l'heure tourne.
Celle que j'ai tuée.
Soufflé par Delirium, le Vendredi 1 Septembre 2006, 22:33 dans la rubrique "Actualités".
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