Je les ai tous tués. Tous, un par un.
Et toi, aussi, je t'ai tuée.

Et j'ai tout reconstruit, plein de fois, à chaque fois qu'ils détruisaient tout. Chaque fois que c'était de ta faute.
Et je les ai tous tués, tes armes.

Avec des fourchettes dans leur corps. Ha ! Tes chats, tu peux encore en envoyer, je te les exploserai. Je les enverrai dans la mer, du haut de la falaise, et ils brûleront dans l'eau, tout seuls, morts.

Arrête de me les envoyer, où je te tue. Je te crèverai les yeux avec les mêmes fourchettes que j'ai transpercé leur corps.
Je te les enverrai, ils effondreront ta maison, parce que tu verras que la jalousie ça vit aussi, que tu crées un, monstre et pas qu'un robot.

Ta maison va brûler. Et toi avec. Tes chats ne morderont plus, tes armes ne seront plus maudites.

Et je me marre de vivre ça.